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Le Forex

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Forex

Forex
Issu de la contraction des termes anglais Foreign Exchange, Forex est le surnom universellement donné au marché des changes, sur lequel les devises sont échangées l’une contre l’autre, à des taux de change qui varient sans cesse.

Importance économique
Ce marché mondial, qui est essentiellement interbancaire, est le deuxième marché financier de la planète en termes de volume global, derrière celui des taux d’intérêt. C’est néanmoins le plus concentré et le premier pour la liquidité des produits les plus traités, comme la parité euro/dollar.

Pour donner une idée de la liquidité en circulation, le volume quotidien des échanges était en 2004, de 1 900 milliards de dollar US, soit : 600 milliards en transactions au comptant et 1 300 milliards en à terme quasi-uniquement en transactions de gré à gré, selon l’étude triennale de la Banque des règlements internationaux (BRI).

Les transactions, en volume, étaient :
pour 53 % entre banques ;
pour 33 % entre une banque et un gestionnaire de fonds ou une institution financière non bancaire ;
et enfin pour 14 % entre une banque et une entreprise non-financière.
Dans chaque banque importante, les opérateurs (dit cambistes) font les 3×8, bien que généralement à des emplacements différents. A une équipe située en Asie ou en Australie succède une autre située en Europe puis enfin une troisième située en Amérique du Nord, et ainsi de suite.

Néanmoins, malgré ce caractère mondial et cette dissémination horaire entre les continents, une part importante (31 % du volume total, selon la BRI) de l’activité du marché reste localisée physiquement à Londres.

Dans sa dernière étude triennale, la BRI (Bank of International Settlements) a montré qu’un nombre croissant de particuliers choisissent d’investir sur le Forex. Bien qu’ils représentent encore une très faible minorité des transactions et des volumes, un marché dédié aux investisseurs privés s’est développé en parallèle. Il suffit de constater le nombre de plate-formes de trading mises à leur disposition sur internet ainsi que les outils d’information en temps réel jadis réservés aux traders professionnels dans les salles de marché. Désormais, le trader actif du marché des changes peut investir des sommes minimales et -grâce à l’existence de l’effet de levier- trader dans des conditions presque(!) similaires à celles du trader professionnel. Des outils d’information en temps réel diffusent les news forex et l’information fondamentale (indicateurs économiques) et offrent ainsi aux particuliers la possibilité de trader dans les conditions du temps réel.

Le marché des changes existe sous sa forme actuelle, dite régime des changes flottants, depuis mars 1973 et l’abandon de la fixité des taux de change des diverses monnaies par rapport à l’étalon dollar issue des accords de Bretton Woods en 1944.

Produits traités

Spot
Au comptant (on dit spot), les principales parités traitées étaient en 2004, selon la BRI :

l’euro/dollar – 28 %
le dollar/yen – 17 %
le sterling/dollar (dit cable en anglais) – 14 %
Malgré le fort développement de l’euro, le dollar reste le pivot dominant, présent dans 89 % des transactions (contre 37% pour l’euro, 20% pour le yen et 17% pour la livre sterling, le tout sur un total de 200% puisque chaque transaction implique deux devises). Pour une devise non-européenne XXX, une transaction entre l’euro et cette devise se décomposera généralement en une transaction EUR/USD et une transaction USD/XXX.

Change à terme
Le change à terme se décompose en deux produits, tous deux interbancaires, le terme sec (on dit outright en anglais), plutôt peu traité, et les swaps de change. Contrairement aux autres marchés financiers, les marchés à terme organisés ne se sont jamais imposés sur le marché des changes et demeurent marginaux.

Options de change
Enfin, le marché des options de change est le plus divers et le plus inventif des marchés d’options. C’est lui qui est à l’origine de quasiment toutes les formes d’options dites exotiques ou de deuxième génération (options à barrière, options asiatiques, options sur options, etc.).

Trading et Opérations de change

La couverture (hedging)
Le principe consiste à prendre des positions inverses de manière à annuler les risques.

La prévision
Il s’agit d’anticiper les mouvements du marché grâce à une observation plus ou moins avancée de l’environnement financier, économique et politique. L’intérêt de l’anticipation des mouvements de change est la spéculation. Pour cela, de nombreuses sources d’informations sont à la disposition du trader forex (Reuters, TELERATE, Bloomberg L.P.) lui permettant d’accéder à toutes les cotations et informations financières utiles pour son trading. Il a également accès aux indicateurs économiques des principaux pays ainsi qu’aux informations financières mondiales. Il est en mesure de se forger une opinion sur l’évolution des cours ou taux et ainsi d’anticiper des mouvements futurs.

L’arbitrage
Il consiste à essayer de tirer parti de décalages ponctuels de prix ou de cours sur le même support, la même devise sur 2 marchés différents. L’arbitragiste peut réaliser ces opérations sur un seul marché -par exemple le spot- ou sur plusieurs marchés -par exemple les swaps de change. De puissants outils informatiques (dits pricers) lui permettant de calculer différents prix ou l’intérêt d’une opération d’arbitrage. Cette stratégie requiert une réactivité et une gestion du stress en temps réel de la part du trader.

Taux de change
Tableau électronique de taux de change entre monnaies.Le taux de change d’une devise (une monnaie) est le cours (autrement dit le prix) de cette devise par rapport à une autre. On parle aussi de la « parité d’une monnaie ».

Les taux de change, côtés sur les marchés des changes, varient en permanence ; ils varient également en fonction de la place de cotation.

Exemples
Par exemple, le taux de change de l’euro en dollar sera noté : EUR/USD = 1.3120 ; le taux de change du dollar en yen sera noté USD/JPY = 89.4454.

(EUR = euro; USD = dollar US; JPY = yen; GBP =livre sterling selon la codification monétaire internationale, norme ISO 4217 différenciant chaque devise par une abréviation de trois lettres, cf. liste complète)

Taux de change fixe ou flottant
Ce taux de change d’une monnaie est :

Soit fixe, autrement dit constant par rapport à une monnaie de référence (en général le dollar US ou l’euro), par décision de l’État qui émet cette monnaie. Le taux ne peut alors être modifié que par une décision de dévaluation (ou de réévaluation) de cet État. Un État ne peut cependant pas décider d’adopter n’importe quel taux de change de sa monnaie. S’il fixe ce taux de change à un niveau trop haut ou trop faible, le taux de change pourra être « attaqué » sur le marché des changes. Si les autorités monétaires n’arrivent pas à faire face (grâce à leurs réserves de change), elles devront modifier leur parité.

Soit flottant et déterminé à chaque transaction par l’équilibre entre offre et demande sur les marchés des changes. Il s’agit d’un marché mondial interbancaire des monnaies, de moins en moins centralisé sur des lieux spécifiques de cotation et d’échanges, car reposant sur des liaisons informatiques entre banques.

Le taux de change est :
soit un cours « spot », c’est-à-dire « au comptant », pour les achats et ventes immédiats de devises. En général le délai de livraison de devises est inférieur à 2 jours ouvrés.
soit un cours « forward », c’est-à-dire « à terme », pour les opérations de change à échéance future, supérieur à 2 jours ouvrés. La mission est de gérer le risque. C’est un accord pour fixer dès aujourd’hui le prix auquel on va acheter/vendre la devise.

Facteurs influant sur les taux de change :
Le taux de change est déterminé par l’offre et la demande de chacune des deux monnaies : si la demande dépasse l’offre, le cours augmente.

Puisque la devise d’un pays est à la base une créance détenue sur la banque centrale de ce pays, la détention d’une devise étrangère peut être vue comme la détention d’une créance « à vue » sur le pays qui l’a émise.

Sur le court terme
Les taux de changes varient fortement au cours d’une même journée, ces variations ne peuvent pas être expliquées par la théorie de la Parité de pouvoir d’achat (PPA) précédemment décrite. Dans ce cadre d’analyse de court terme, il est nécessaire de se référer à d’autres explications.

Ces variations quotidiennes reposent sur la notion de rentabilité anticipée des dépôts en devises. Les agents économiques détermineront leur demande des différentes devises en fonction de la rentabilité qu’ils anticipent de dépôts dans ces devises.

Sur le long terme
Reconstitution du taux de change euro-dollar de janvier 1972 à janvier 1999 à partir des taux de change du franc français ou du Deutschemark. À long terme, les monnaies doivent théoriquement se rapprocher des parités d’équilibre obtenues à partir de paramètres structurels. Les déséquilibres, et, beaucoup plus rarement, les équilibres, dans la valorisation des devises, se mesurent à partir des parités de pouvoir d’achat (PPA). Il s’agit d’un exercice statistique complexe, qui consiste à comparer dans la durée le pouvoir d’achat d’un consommateur-type dans un pays et une gamme de produits de consommation donnée avec celui d’un autre consommateur-type dans un pays différent et pour une gamme de produits de consommation voulue proche, mais correspondant toutefois à d’autres habitudes locales en matière de mode de vie et de structure des coûts. En pratique, on utilise généralement le dollar US comme devise de l’indice commun et on va ainsi à chaque fois comparer le pouvoir d’achat d’un consommateur-type d’un pays X et celui d’un consommateur-type américain.

La parité de pouvoir d’achat, si elle est utile pour les comparaisons internationales de niveau de vie, où des marges d’erreur de quelques pourcents ne sont pas significatives, son utilisation pour l’analyse du marché des changes doit être effectuée avec la plus grande prudence.

Crise monétaire
Un pays souffrira d’une crise monétaire lorsque la capacité de rembourser la dette extérieure (publique et privée) libellée en devise étrangère du pays est fortement mise en doute (crise de confiance). La sortie de capitaux à court terme fait alors chuter le taux de change de la monnaie, rendant le remboursement encore plus difficile.

Rôle économique des taux de change
Les taux de change (et les taux d’intérêts, qui leur sont étroitement liés) agissent bien entendu sur les prix à l’importation et à l’exportation. Ils ont une influence sur le sens des flux de capitaux entre zones économiques.

De ce fait, les pays et zones économiques peuvent être tentés d’agir sur les taux de change, sous prétexte souvent d’éviter la spéculation (en fait ces manipulations ont plutôt tendance à l’encourager), et dans le but d’améliorer (baisse du taux de change).

Fonctionnement des marchés de change

Cas particulier du taux euro/dollar
Le taux de change dit euro/dollar est le cours de l’euro chiffré en dollar US, d’où la barre de fraction (ne pas confondre avec les eurodollars).

C’est l’instrument financier le plus actif et le plus traité du monde: 27% du total des opérations spot. Sa valeur est donc un indicateur suivi en permanence non seulement par les milieux économiques et financiers, mais aussi par les médias, tant spécialisés que généralistes, du monde entier.

Cette définition est en fait, la valeur externe de l’euro par rapport au dollar américain.

Profession (cambiste)
Ceux qui effectuent des opérations de change à titre professionnel sont appelés cambistes.

Les banques en particulier ont des équipes de cambistes, tant pour réaliser les opérations propres de ces institutions sur le marché que pour satisfaire les besoins de change de leurs clients, par exemple, concernant les entreprises, pour leurs opérations de commerce international. Ils agissent comme market makers, c’est-à-dire qu’ils “font des prix”, pour une quantité soit standard soit spécifiée, et fournissent à la fois celui où ils achètent (bid, en anglais) et celui auxquels ils vendent (ask, en anglais), par exemple : 1 EUR = 1.2343 / 1.2346 USD.

Unités de cotation
Les cambistes expriment l’unité de cotation d’un taux de change portant sur un couple de devises en points appelés pips. Pip est l’acronyme anglais de “price interest point”, ou « point de swap » en français. À l’origine, comme son nom l’indique, celui-ci désignait l’unité de « déport » ou « report » du change à terme mais a fini par être appliqué à l’unité du marché au comptant. Il désigne la dernière décimale utilisée : dans le cas de l’euro, c’est la quatrième décimale. Une cotation sur trois “pips”, qui est la norme sur le marché interbancaire de l’euro/dollar, sera ainsi dans le premier exemple (EUR/USD = 1.3120) du paragraphe 1 ci-dessus : EUR/USD= 1.3120 (bid)/1.3123 (ask). Soit un spread de 3 pips dans le cas du yen, ce sera la deuxième décimale, et une cotation sur quatre “pips” sera alors, toujours pour l’exemple ci-dessus, USD/JPY = 89.4454 (bid)/89.4654 (ask).

Le pip représente donc un pourcentage différent et non fixe pour chaque parité. Cet écart dépend : de la devise dans laquelle on choisit par convention d’exprimer le taux de change (l’« incertain » de la comparaison), l’autre étant prise pour unité de marchandise (le « certain »); du nombre de décimales de la cotation.
Ces écarts entre les cours “acheteur” et “vendeur” d’une devise contre une autre sont très inférieurs à ceux qu’un particulier peut constater lorsqu’il souhaite réaliser une opération de change dans une officine de change (ou à sa banque) pour un montant modeste.

Dans le premier exemple, la quotité (quantité minimale) d’une opération de change sur le Forex étant de 100 000 euros (la transaction standard étant plutôt en dizaines de millions), on notera qu’un pip pour une telle quantité échangée vaut 10 dollars. Dans le deuxième exemple, la quotité d’une opération de change étant de 100 000 dollars, un pip pour cette quantité vaut 1 000 yens (soit environ 9 dollars).

Mécanisme de taux de change européen
Le mécanisme de taux de change européen, ou MCE, est un mécanisme de taux de change introduit par la Communauté européenne en 1979 destiné à statibiliser les cours des devises européennes, prévenir les risques de change et accroître la confiance dans la monnaie à moyen et long terme, juguler l’inflation et développer le commerce et l’activité dans la zone intra-communautaire.

Initialement nommé « système monétaire européen, » il a été considérablement révisé dans son fonctionnement par le traité de Maastricht ratifié en 1992 instaurant l’Union européenne, en vue de la préparation à son Union économique et monétaire et sa future monnaie unique.

Depuis l’introduction de l’euro le 1er janvier 1999, il a été révisé et remplacé par le MCE II et consiste en un accord entre le Conseil ECOFIN réunissant tous les pays membres de l’Union européenne, la Banque centrale européenne et les banques centrales nationales des États membres de l’Union européenne n’appartenant pas à la zone euro.

MCE II
Pour les États membres ne participant pas à la monnaie unique européenne, un second mécanisme de taux de change européen, dit MCE II, fut alors mis en place. Lors de la négociation du traité de Maastricht par les 12 membres de l’UE, et les 3 nouveaux accédants (Finlande , Suède et Autriche), il était prévu que tous les membres du précédent MCE et tous les nouveaux membres de l’Union adhèrent obligatoirement soit à l’UEM (s’ils sont éligibles), soit au MCE II. Le MCE a pris fin, mais la Suède (en dépit de sa signature du traité) et le Royaume-Uni (qui a choisi de se retirer mais a été autorisé à ne pas le faire) n’ont pas adhéré au MCE II. De telles exemptions ne sont plus permises pour les nouveaux pays candidats à l’Union, qui doivent préalablement accepter la convergence de leur économie et la participation au MCE II (puis à l’UEM dès que les conditions sont remplies) avec un calendrier défini dans le traité d’adhésion.

Le MCE II est basé sur l’euro uniquement, c’est-à-dire sur l’unité commune des seuls pays ayant adhéré à l’euro (et non plus sur l’ECU qui était calculé sur l’ensemble des devises de l’Union européenne) et tolère un écart de 15 % autour d’un taux de change initial entre la devise nationale et l’euro. Cette réduction d’assiette pour la fixation des taux de change extracommunautaires devait permettre aussi de stabiliser et répartir le budget européen sur des bases plus équitables. Toutefois, cette réduction d’assiette comportait un risque sur la fixation de ce budget, si insuffisamment de pays européens adhéraient à l’euro. Ce ne fut pas le cas, et presque tous les pays de l’Union européenne ont pu adhérer dès le lancement de l’euro, ce qui a permis de mettre fin en même temps à l’ECU et donc aussi au MCE (du moins officiellement, certains organismes financiers ayant continué à le calculer jusqu’en 2001 environ, sous forme d’un indice, mais en considérant le poids de l’euro dans l’ancien panier de devises, bien que la composition de l’euro ait changé depuis, ainsi que les modes de calcul des contributions au budget européen).

Depuis l’introduction de l’euro le 1er janvier 1999, la parité entre l’euro et les anciennes devises nationales des pays membres rejoignant l’euro est devenue fixe et irrévocable. Les autres pays ayant ratifié le traité de Maastricht (ou ses successeurs) s’engagent à faire converger leur économie de façon à éviter les distortions économiques liées à leur taux de change, à ne plus recourir aux dévaluations, laisser le marché fixer le cours de leur devise en fonction de leurs performances économiques. Pour parvenir à maintenir les taux de changes stables autour d’une valeur pivot définie lors de l’adhésion au MCE II, dans des limites maximales de fluctuation de ±15 %, ils mènent une politique commune de convergence de critères économiques, et une saine gestion de leurs finances publiques à court et long terme.

Ces critères sont évalués par le Conseil de ministres des finances de l’Union, l’ECOFIN, en collaboration avec la Banque centrale européenne et les banques centrales nationales membres de l’UEM. Si les critères de convergence économiques sont respectés durant une période minimale de 2 ans, les États participants reçoivent l’agrément du Conseil ECOFIN pour accéder à l’euro, et leur banque centrale nationale (BCN) peut adhérer à la BCE ; finalement, quand cette intégration est réalisée (par le dépôt des signatures des instruments de ratification et des conditions financières, l’approbation des représentants de la BCN et de la masse monétaire à convertir, et la recette des fonds de garantie déposés à la BCE), la BCE fixe, en accord avec le conseil ECOFIN, le taux de conversion irrévocable entre leur devise nationale et l’euro, en prenant en compte les dernières fixations officielles sur les marchés des changes et les ajustements calculés sur les avoirs et engagements financiers internationaux de la BCN adhérente au jour de la clôture.

Tous les pays aspirant à intégrer la zone euro doivent d’abord souscrire au MCE II. Ce fut le cas pour la Grèce en 2000 et 2001 avant son adhésion à l’euro. C’est déjà le cas de l’Estonie, de la Lituanie, de la Lettonie, de Malte et de Chypre, ainsi que de la Slovaquie depuis novembre 2005. En intégrant la zone euro, la Slovénie a quitté le MCE II le 1er janvier 2007.

Change à terme
Le change à terme (en anglais : forex forward) est un produit dérivé de gré à gré, à la fois : du marché des changes et surtout des marchés monétaires des deux devises concernées.

Il s’analyse comme :
une transaction spot, c’est-à-dire au comptant
L’achat dans une devise
La vente dans l’autre devise.

Pour des raisons pratiques, il a été décomposé en deux instruments financiers différents :
le terme sec (en anglais : outright), plutôt peu traité,
et les swaps de change (en anglais : forex swaps), qu’il ne faut pas confondre avec les swaps de devises (currency swaps).

Dans les deux cas cas, il s’agit de marchés interbancaires : contrairement aux autres marchés financiers, les marchés à terme organisés ne se sont jamais imposés sur le marché des changes et ils y demeurent marginaux.


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